Yiddish: Un histoire de survie

Avant la Shoah /l’Holocauste, une majorité de Juifs en Europe parlait le yiddish. Apres la decimation des juifs pendant la deuxieme guerre mondiale, la culture yiddish – la langue, la littérature et le théâtre – a été pratiquement, entièrement détruite. Le sort de la langue yiddish était menacée et nul n’osait croire  que  le yiddish allait revoir le jour. Ce film, crée a Montréal, est un documentaire sur la survie du Yiddish après la Shoa par la route du theatre. Comprenant qu’est-ce que c’est de perdre sa culture, les Québécois français était des grands amis du theatre Yiddish a Montreal et cela est clairement démontré dans le film.

Ce documentaire se concentre sur trois générations d’artistes yiddish qui examine l’état du yiddish dans le 21e siècle.

Arrivé au Canada en 1950 avec deux jeunes filles, Dora Wasserman, a réussi à créer une troupe de théâtre yiddish composé d’étudiants et de leurs parents, de nombreux survivants de la Shoah. Son travail a été réalisé par sa fille Bryna Wasserman, qui a récemment présidé le cinquantième anniversaire de la Yiddish Dora Wasserman Troupe en lançant le tout premier Festival international de théâtre yiddish à Montréal.

Milena Kartowski, une étudiante de 23 ans qui a exploré la danse, le jazz et l’opéra à Paris, une petite-fille de survivants de la Shoah, a récemment découvert la langue yiddish et sa culture d’origine. Elle est «tombée en amour» avec le théâtre yiddish et sa chanson. Milena comprend non seulement l’essence de la culture yiddish, mais aussi l’importance de préserver une culture qu’elle craint être menacée d’extinction.

Voici Milena chantant à Montreal, 2011 à la Festival Internationale de Theatre Yiddish.

 

Il y a vingt-cinq ans, Shmuel Atzmon, un survivant de la Shoah, a commencé à faire renaître le théâtre yiddish en Israël. Il a pris les jeunes acteurs de langue hébraïque et leur a enseigné la langue yiddish, sa musique et sa culture. Il est maintenant responsable du yiddish Repertory Theatre à Tel Aviv,  appelé Yiddishspiel.

Abigail Hirsch est née dans une famille juive qui a survécu à la Shoah en Europe. Abigail est arrivé au Québec à l’age de cinq ans, finit l’école à Montréal et parle plusieurs langues, mais pas le yiddish. Elle écrit : « J’ai redécouvert la beauté et la profondeur du yiddish à travers le Festival international de théâtre yiddish qui a eu lieu à Montréal en 2009. J’ai été inspirée et je me suis lancée dans ce documentaire. Partout où je suis allé en Israël, aux États-Unis et au Canada, j’ai partagé ce projet avec des gens de toutes les langues, juifs et non-juifs, qui se sont montrés très intéressés par ce sujet.»

Jeudi, le 22 mai, le documentaire sera presenter sur le canal PBS Mountain Lake à neuf heure du soir.

Après avoir vu la bande-annonce, vous serez sans doute d’accord avec Abigail, comme c’est important de préserver le francais c’est aussi un projet important de continuer à faire des efforts pour préserver l’héritage yiddish pour le monde.

Celebrating Jewish and Yiddish Culture: A Musical Journey Through KlezKanada

KlezKanada is an annual celebration of Jewish and Yiddish culture in the picturesque Quebec region. This premier event is a melting pot of diverse attendees, including musicians, Yiddish enthusiasts, Jews, and non-Jews. The festival spans a week and is held at the stunning Camp B’nai Brith in the Laurentian Mountains. It offers a variety of inter-generational festivities that revolve around exploring Jewish and Yiddish culture through song, dance, and other cultural experiences.

A Melting Pot of Culture and Diversity

As an attendee of this year’s festival, I participated in several captivating lectures that explored Jewish and Yiddish culture and history. I also had the opportunity to enjoy numerous musical performances showcasing the talents of seasoned and emerging artists from across the globe.

KlezKanada plays a crucial role in safeguarding and advancing Jewish heritage, with a particular focus on klezmer music and the Yiddish language. By cultivating a network of musicians, scholars, and enthusiasts, the organization ensures that these cherished traditions are sustained and passed down to future generations while fostering a diverse global community. The festival serves as an educational platform, providing workshops and performances that promote understanding the cultural significance of klezmer music and Yiddish. It also encourages creative expression and facilitates intergenerational exchange, making it a dynamic hub for Jewish cultural heritage.

I have included photos of the festival’s vibrant spirit and rich experiences below.

(Photographer: Chris Zacchia)